Hélio Volana (1994) travaille entre Paris et Antananarivo. En convoquant des entités spirituelles effacées par l’histoire coloniale ou en conjurant les assignations à des normes limitantes, iel fait de l’installation un sanctuaire, de la performance une cérémonie, et du sonore une oraison intime.
Son travail est lauréat du Fonds régional pour les talents émergents (FoRTE), financé par la Région Île-de-France, et de la Bourse Mira de l’Institut Français.